samedi 18 septembre 2010

BI en mémoire et associatif...épisode I - les principes

" It should be very simple "
La vidéo de droite commence ainsi (je vous la recommande)... mais ce post aura été incroyablement compliqué à sortir !

Le marketing du "En mémoire et associatif"
C'est l'argument différenciateur marketing numéro 1 de Qlikview - vous avez notamment le post de leur nouveau directeur marketing qui clame haut et fort que le produit est associatif dans ses gênes... Je voulais reprendre cet article et l'illustrer mais j'en ai rien fait... collé pendant toute la semaine sur cet argumentaire avec des phrases à rallonge et si loin de ce qu'on ressent quand on utilise le produit !

Et pourtant, ce produit est vraiment différent... il suffit de l'utiliser quelques minutes pour le ressentir. Et je vous livre mes trois points clés.

1.Qlikview colorie les résultats... au lieu de les filtrer.


La spécificité que vous voyez en premier dans Qlikview est qu'il "colorie" les résultats de votre sélection. Dans une requête normal, vous fixez le périmètre et les filtres et vous avez le résultat de votre sélection. Qlikview lui va vous coloriez le résultat - ce que vous avez explicitement sélectionné est en vert, ce qui est associé est en blanc et surtout ce qui n'est pas associé est en gris - le logiciel n'enlève ou ne restreint jamais les données de départ. Toutes les données sont toujours présentes devant vous versus une approche avec un énorme entrepôt de données dont vous sélectionnez des extraits.


Cliquez pour agrandir l'image du dessus ... dans leur fameux exemple de la base de données du cinéma. On voit à la fois les réalisateurs qui ont travaillé et n'ont pas travaillé avec Jean Reno. On voit tout de suite aussi qu'il a beaucoup travaillé avec... Luc Besson. Coloriez les résultats versus les filtrer a un avantage, il vous donne ce qui est dedans - ce qui ne l'est pas. En SQL vous auriez fait deux requêtes, avec Qlikview, un clic suffit !

2. Le monde dans une seule table... 

Je voulais vraiment remettre ce schéma... cela vient de leur base exemple "call center"... même de loin, vous vous dites "quel fatras"... et pourquoi ces liens dans tous les sens.


Ces liens ne sont pas des relations entre les tables, ce sont des liens qui sont explicites de façon permanente. Dans une base de données, vous allez dans une requête sélectionner les quelques tables qui vous sont nécessaires pour avoir votre résultat... dans Qlikview, c'est comme si à chaque fois que vous faisiez une sélection, elle se faisait avec toutes les tables du modèle réunies dans une seule table.

Un simple clic voit le résultat sur toutes les tables du modèle...Dans cette fameuse base exemple ou l'on a à la fois les commandes clients et les appels au service client... un simple clic sur le transporteur de la commande va vous associer les appels au service client de tous les clients ayant été livrés par ce transporteur alors que vous vouliez juste regarder la répartition par transporteur des commandes ^^

3 - Tous les calculs... déjà calculés ou presque
Souvent dans l'argumentaire de présentation du produit, on montre que les indicateurs peuvent être justifiés par les lignes de détail et que l'on a dans le même produit détail et calcul. En fait c'est l'inverse, le produit est toujours à la ligne de détail.Tous les indicateurs (sum, moyenne, écart-type, etc...) sont calculés en permanence au gré des sélections. Et de reprendre mon exemple précédent : sélectionnez un produit en particulier, le logiciel vous recalculera en un clin d'oeil... le temps de traitement au service client de ce produit !!!

Le prochain post sera.... mais à quoi donc cela peut servir dans la vraie vie ;-)

 Si vous voulez réagir (et que vous êtes de Qlikivew par exemple ou consultant sur le produit) - c'est le moment !!!

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire